Le prélèvement de cortex ovarien est effectué par laparoscopie. Cette technique consiste à prélever sous anesthésie générale des fragments d’ovaire ou un ovaire entier. Les tissus sont ensuite découpés en minuscules lamelles et congelés à -196°C. Ces fragments peuvent être conservés dans l’azote liquide pendant de nombreuses années. En cas de dysfonctionnement des ovaires, il est ainsi possible de procéder ultérieurement à une autogreffe. Lorsque les tissus transplantés se développent, la production d’hormones féminines et d’ovocytes matures peut ainsi reprendre pour un temps.
Aucun. Le prélèvement du cortex ovarien s’effectue lors d’une procédure ambulatoire ou, le cas échéant, lors de l’opération du cancer.
Cette technique nécessite deux interventions chirurgicales (la première afin de prélever les tissus ovariens et la seconde afin de les transplanter). Le prélèvement de cortex ovarien peut affaiblir les fonctions de l’ovaire déjà fragilisé par la chimiothérapie. Dans le cas de certaines pathologies cancéreuses, il existe un risque que les tissus ovariens prélevés contiennent des cellules malignes pouvant induire une rechute après transplantation. A l’heure actuelle, la cryoconservation de cortex ovarien n’est pas jugée prometteuse au-delà de 37 ans.
Es gibt derzeit keine gesetzliche Regelung, welche das Einfrieren von Eierstockgewebe einschränkt.
Es gibt derzeit keine gesetzliche Regelung, welche das Einfrieren von Eierstockgewebe einschränkt.
In Österreich ist das Einfrieren von Eierstockgewebe aus einem medizinischen Grund erlaubt und im Fortpflanzungsmedizingesetz (BGBl. Nr. 275/1992 §2b) geregelt.
Depuis le 1er juillet 2019, l’assurance-maladie couvre les coûts de prélèvement, de transplantation et de stockage pendant cinq ans après l’établissement du diagnostic.
En Allemagne, le prélèvement et la transplantation sont dans certains cas pris en charge par l’assurance-maladie. Les frais de stockage doivent toujours être supportés par les patientes. Les coûts du traitement se décomposent comme suit : de 1000 à 1500 euros pour le prélèvement, de 400 à 800 euros pour la cryoconservation (congélation et stockage pendant un an) et au moins 1000 euros pour la transplantation des tissus ovariens prélevés.
Cette technique est désormais considérée comme établie. Cette procédure est néanmoins encore récente et on ne dispose que de peu de statistiques et de retours d’expérience en ce qui concerne les grossesses et les naissances en ayant résulté.
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