Des options comme l’adoption ou le don d’ovocytes constituent pour certains couples une alternative leur permettant de satisfaire malgré tout leur désir d’enfant. D’autres décident néanmoins de renoncer à tout traitement.

Le fait d’accepter de ne pas avoir d’enfants (ou de ne plus en avoir d’autres) peut induire une forte charge émotionnelle et provoquer de la colère, de la tristesse ou de la culpabilité. Le processus de deuil en lui-même débute souvent au moment où le couple décide de ne plus entreprendre aucune démarche médicale. Il est extrêmement important de s’autoriser à vivre cette phase de deuil, car elle constitue simultanément une condition nécessaire pour que de nouvelles perspectives de vie puissent être envisagées. La manière d’affronter la perte de la fertilité, aussi bien à titre individuel qu’au sein d’un couple, varie d’une personne à l’autre.

Observez-vous et observez vos réactions. Si vous remarquez que cette décision vous pèse plus que prévu, ou si vous souhaitez en parler à quelqu’un, adressez-vous à un psychologue ou à votre médecin.

Notes et questions

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